Pendant la période monastique, ce jardin était scindé en deux jardins privatifs associés aux deux cellules des sous-sacristains.
Aujourd’hui le vestige du muret central délimite la surface de chacun de ces anciens jardins de moine chartreux, tandis qu’une haie de cyprès l’isole du grand cloître du cimetière.
En 2009, dans le cadre de l’exposition Didascalies pour la Chartreuse une installation du plasticien paysagiste Henri Olivier investit l’espace. Elle est composée d’un lutrin et d’un banc installé sur les vestiges du mur (commande public).
En 2014, le jardin du sous-sacristain a accueilli le poirier Impériale à feuille de chêne, une des treize variétés de pommiers et poiriers descendants des collections d’arbres fruitiers des moines chartreux. Des plantes odorantes (rosiers, thyms et lavandes) y ont été plantées.