CIE ACÉTÉS
L’eau coule, les hommes passent, les histoires restent
ou
La Déesse mère
- Pulsation #1 -
Le projet « Pulsation #1 » réunit quatre artistes de la Cie Acétés autour d’un procédé créatif singulier.
Pidj (Pierre-Jean Rigal), musicien, en est à l’origine.
Venant de l’univers de la Bass Music, il travaille depuis une quinzaine d’année dans le spectacle vivant, autour de l’œuvre d’autrices et auteurs vivants, et compose des dramaturgies musicales pour accompagner les comédien·ne·s.
A son tour, il a imaginé renverser le processus, en composant une « pièce sonore » de 52 minutes, à confier à une autrice pour qu’elle en imagine l’écriture.
C’est à Laetitia Ajanohun que le défi a été lancé. La voici donc casque sur les oreilles, et/ou musique sur les enceintes à imaginer un texte pour cette partition singulière.
La comédienne, Nanténé Traoré, découvre le texte et l’univers sonore simultanément, pour en devenir la voix et le corps.
Le metteur en scène, Cédric Brossard, arrive « presque » en bout de chemin pour orchestrer, accompagner, émulsifier : c’est l’ensemble du processus créatif qui se retrouve inversé avec ce projet et il s’agit de jouer le jeu pour chacun·ne des artistes…
La Cie Acétés est implantée à Cahors, dans le Lot. Elle travaille depuis une quinzaine d’année autour des écritures francophone à la déconstruction de nos imaginaires coloniaux, en lien avec des écrivain·ne·s vivant·e·s.
Elle est actuellement en compagnonnage d’auteur avec Sedjro Giovanni Houansou (Bénin).
Elle est une structure associée à [la fabrique francophone], Fabrique de territoire à Cahors (46).