ALEXANDRA CISMONDI
Des lumières, quatre chaises, quatre pédalgos, une table, de la poudre blanche dans le noir, des maquillages fluorescents et le vol de quelques confettis.
Sur scène on danse, on ne s’entend pas.
Sur scène une fête.
Une famille qui n’arrive pas à souffler la bougie de ce gâteau qui brûle sans cesse.
Une fête ?
L’anniversaire de Lo. Ses parents, sa sœur aînée de 17 ans, les Tardi Muller qui tentent de se mettre à table à tous les temps, dans tous les sens et dans tous les sens du terme.
Silence.
Quelque part, on a échoué, mais où ? Et combien ça coûte de se relever ? Qu’est-ce que ça va nous coûter ?
Faut-il accepter la tragédie pour se sauver ?
Il faudra que tu m'aimes le jour où j'aimerai pour la première fois sans toi est un conte déjanté sur un monde en pleine crise d’adolescence qui a plongé une famille dans l’abîme. Une famille et deux adolescentes, 3 histoires d’amours, peut-être 4, un fou, un lycée exsangue aux professeurs follement baroques et tristement dépassés, le dernier hamster de toute l’histoire de la Terre et tous ces mots qu’on ne dit plus. Une arme chargée. La main d’un jeune homme. Et tout au fond là-dedans, un bout de ce qu’on pense être la maternité, le devoir de parent et celui d’enfant.
Artiste protéiforme de 37 ans, Alexandra Cismondi est diplômée de la Sorbonne en Culture, Politique et patrimoine, formée à la danse, au théâtre et au clown, elle raconte des histoires et les transmet. 2016 premier atelier fondé avec le BAAM au CNSAD. 2017 premier seul en scène et naissance de la Cie Vertiges.
Le projet est subventionné par Les Plateaux Solidaires ARSUD / Rouvrir le monde 3 DRAC ; coproduction Chateauvallon Liberté scène nationale, La Passerelle scène nationale, Théâtre du Bois de l’Aune, Le Carré Sainte Maxime, Les Théâtres.
Avec le soutien de la Chartreuse-CNES
Le projet est subventionné par Les Plateaux Solidaires ARSUD / Rouvrir le monde 3 DRAC ; coproduction Chateauvallon Liberté scène nationale, La Passerelle scène nationale, Théâtre du Bois de l’Aune, Le Carré Sainte Maxime, Les Théâtres.
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