ELF la pompe Afrique
Compagnie Un Pas de Côté
de et par Nicolas Lambert
musique Éric Chalan ou Hélène Billard
collaborateur artistique Erwan Temple
collaborateur artistique Erwan Temple
Production déléguée et diffusion Les Métamorphoses Singulières, Le Grand Parquet ; Karinne Méraud-Avril
Nicolas Lambert joue tous les personnages du procès Elf, qu’il a suivi pendant quatre mois. De Dédé la Sardine à Monsieur Afrique, en passant par Alfred Sirven et Loïk Le Floch-Prigent le repenti, tous sont sur scène avec leur arrogance, leurs ridicules, leurs petites lâchetés, leurs vrais mensonges ou faux aveux. Nicolas Lambert éclaircit pour nous ce grand scandale politico-financier, dont il a saisi des petites phrases dignes des meilleurs dialogues d’Audiard. Un réquisitoire drôle et cruel sur la comédie humaine et politique.
La pièce, qui a connu un grand succès public, est le premier volet du projet Bleu-Blanc-Rouge mettant en lumière les failles et les corruptions des rouages de la République française à travers les enjeux du pétrole, du nucléaire ou de l’armement. Nicolas Lambert vient à la Chartreuse travailler sur le troisième volet, Rouge.
Revue de presse
Difficile de songer à meilleur exemple d’un théâtre documentaire et citoyen. L’utilité publique de l’initiative de Nicolas Lambert crève les yeux. Si la Ve République avait une capacité d’auto-nettoyage, on inscrirait ce spectacle au programme scolaire. Thomas Hahn, Cassandre
De ce « casse du siècle », Nicolas Lambert a tiré une pièce qui se veut tout autant la lecture d'un procès à bien des égards exceptionnel qu’un réquisitoire militant contre cette forme de colonialisme pétrolier français.
Pascale Robert-Diard, Le Monde
On rit beaucoup, on est souvent consterné aussi, en entendant comme le dit ce comédien impitoyable « les vraies paroles d’un procès qui nous regarde ». Son spectacle est drôle, effrayant de vérité crue, il joue dans une jubilation communicative tous les personnages en même temps dans une esthétique reproduisant l’humanité et la théâtralité d’un prétoire. Claire Baudéan, France Info
Revue de presse
Difficile de songer à meilleur exemple d’un théâtre documentaire et citoyen. L’utilité publique de l’initiative de Nicolas Lambert crève les yeux. Si la Ve République avait une capacité d’auto-nettoyage, on inscrirait ce spectacle au programme scolaire. Thomas Hahn, Cassandre
De ce « casse du siècle », Nicolas Lambert a tiré une pièce qui se veut tout autant la lecture d'un procès à bien des égards exceptionnel qu’un réquisitoire militant contre cette forme de colonialisme pétrolier français.
Pascale Robert-Diard, Le Monde
On rit beaucoup, on est souvent consterné aussi, en entendant comme le dit ce comédien impitoyable « les vraies paroles d’un procès qui nous regarde ». Son spectacle est drôle, effrayant de vérité crue, il joue dans une jubilation communicative tous les personnages en même temps dans une esthétique reproduisant l’humanité et la théâtralité d’un prétoire. Claire Baudéan, France Info