Pierre-Yves Chapalain
variation sur Le Procès de Franz Kafka
Le temps qu’il faut / Bretagne
avec Pierre-Yves Chapalain et Daniel Dubois
création lumière Florent Jacob
costumes Elisabeth Cerqueira
construction décor Adeline Caron, Mohamed Elasri, Marie Hervé et Jean-Paul Rivière
avec les regards de Kahena Saighi et Christian Giriat
Un homme « ordinaire » s’interroge sans cesse pour tenter d’élucider « la sorte de mise en accusation » dont il fait l’objet. Il cherche à se défendre de manière farouche pour enrayer des méthodes qu’il juge arbitraires afin que cela ne se reproduise pas avec d’autres.
K. constitue un énorme dossier, une requête exhaustive, dans laquelle il déplie toute sa vie pour trouver où il aurait commis une faute! Il écrit jour et nuit, de manière acharnée et concentrée, afin de forer les couches les plus profondes et faire émerger le détail qui ébranlerait l’accusation. Écrire aussi pour stopper la culpabilité qui ne cesse d’être à l’oeuvre dans son for intérieur et se libérer enfin! Une pensée non sans humour qui ouvre un champ imaginaire fécond aux spectateurs.
Pierre-Yves Chapalain a écrit et mis en scène La Lettre (2008), La Fiancée de Barbe-Bleue (2010), Absinthe (2010), La Brume du soir (2014), Outrages l’ornière du reflux (2015), Où sont les Ogres ? (2017). Ses textes sont édités aux Solitaires Intempestifs.
Il est venu en résidence à la Chartreuse en novembre 2018 pour travailler sur ce projet.
Coproduction La dissipation des brumes matinales / Laurent Gutmann.
Coréalisation Cie Public-Chéri – Théâtre l’Échangeur, Bagnolet.
Avec le soutien du Studio-Théâtre de Vitry ; de l’Archipel, Pôle d’action culturelle, Fouesnantles Glénan ; de la Chartreuse-CNES.
Coproduction La dissipation des brumes matinales / Laurent Gutmann.
Coréalisation Cie Public-Chéri – Théâtre l’Échangeur, Bagnolet.
Avec le soutien du Studio-Théâtre de Vitry ; de l’Archipel, Pôle d’action culturelle, Fouesnantles Glénan ; de la Chartreuse-CNES.
